La salade niçoise
Célèbre dans le monde entier, la salade niçoise a tellement été (mal) copiée qu’elle est devenue, dans le langage familier, synonyme de « n’importe quoi », de fourre-tout », de méli–mélo incohérent.
Au départ, 16e siècle, c’est un «plat de pauvre», facile et pas cher. À la base, 3 ingrédients seulement font la salade «de Nice» : tomates, anchois, huile d’olive. Au 19e siècle, elle prend des couleurs et de l’ampleur avec divers légumes de saison : oignons blancs (cébettes) ou radis (mais jamais les deux !), poivrons, basilic frais (obligatoirement !), fèves et/ou artichauts, olives noires (de Nice, bien sûr !)
On frotte l’assiette avec une gousse d’ail, un peu d’huile d’olive et du sel et… c’est tout ! Vous voyez que c’est simple ! Rien que des ingrédients d’ici. Du vert, du rouge, du blanc, du jaune… un feu d’artifice dans l’assiette! Et pour le palais, quelle fête! Ça craque, ça croque, c’est sucré et acide, salé, doux, amer, c’est moelleux… Au final, une bonne salade niçoise, c’est le bonheur à table.
Au départ, 16e siècle, c’est un «plat de pauvre», facile et pas cher. À la base, 3 ingrédients seulement font la salade «de Nice» : tomates, anchois, huile d’olive. Au 19e siècle, elle prend des couleurs et de l’ampleur avec divers légumes de saison : oignons blancs (cébettes) ou radis (mais jamais les deux !), poivrons, basilic frais (obligatoirement !), fèves et/ou artichauts, olives noires (de Nice, bien sûr !)
On frotte l’assiette avec une gousse d’ail, un peu d’huile d’olive et du sel et… c’est tout ! Vous voyez que c’est simple ! Rien que des ingrédients d’ici. Du vert, du rouge, du blanc, du jaune… un feu d’artifice dans l’assiette! Et pour le palais, quelle fête! Ça craque, ça croque, c’est sucré et acide, salé, doux, amer, c’est moelleux… Au final, une bonne salade niçoise, c’est le bonheur à table.